Une entreprise bien connue...
Dans les années 50, la famille Aubret ouvre une charcuterie dans le Sud de Nantes. Guy Aubret, un des fils, rejoint l’entreprise en 1979, fort de ses expériences d’import-export à l’international.
Dans les années 50, la famille Aubret ouvre une charcuterie dans le Sud de Nantes. Guy Aubret, un des fils, rejoint l’entreprise en 1979, fort de ses expériences d’import-export à l’international.
Il avait une véritable vision et une fibre de l’entrepreneuriat
En 1983, à la recherche d’une opportunité pour monter un site de production, Guy Aubret trouve un terrain à Vallons-de-l’Erdre pour y installer ses locaux et ses ambitions. Le Pays d’Ancenis, terre réputée pour l’industrie, a alors tous les atouts nécessaires au développement de l’entreprise.
Dans les années 80/90, le site grandit et l’activité s’oriente principalement vers la viande et la salaison. Outre le marché florissant au cœur de l’hexagone et en Europe, l’entreprise s’est vite tournée vers l’outre-mer français.
Depuis 2020, la société fait partie du groupe Eureden, coopérative polyvalente spécialisée dans différents secteurs d’activités : agriculture, élevage de porcs, conserverie, surgelés…
Avec Eureden, on est une entreprise qui se transforme, évolue et continue à se développer avec de véritables enjeux
comme avec le souhait de s’appuyer plus fortement sur son groupement de producteurs de porcs.
On est engagé pour le bien-manger, le bien-être animal et la notion d’une véritable filière de traçabilité de l’élevage à l’assiette.
Et d’autres enjeux s’ajoutent à l’entreprise :
Le site doit continuer à moderniser ses équipements pour rester à la pointe et performant : projets d’automatisation de lignes et investissement dans des machines.
pour notamment aider les salariés pour le port de charges pénibles. Soumise aux difficultés de recrutement, l’entreprise Aubret a activé des réseaux étrangers et fait le choix de la fidélisation :
On donne à nos salariés les moyens de s’intégrer en les accompagnant, en proposant des formations et cours de langue, et surtout de véritables perspectives d’évolution.
Nul doute que l’entreprise locale a encore de beaux jours devant elle…